Sommaire complet
du 15 décembre 2010 - n° 59
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Cour Administrative d’Appel de Bordeaux n° 08BX01434 du 8 décembre 2009. Urbanisme pratique n° 171 du 17 juin 2010.
Urbanisme Pratique n°171 du 17 juin 2010
Vu la requête enregistrée au greffe de la cour le 2 juin 2008, présentée pour M. Jean-Louis X, demeurant ..., par Me Kern, avocat ;
M. X demande à la cour :
1°) d’annuler le jugement du 3 avril 2008 par lequel le tribunal administratif de Toulouse a rejeté sa demande dirigée contre les arrêtés en date du 15 juin 2004 et du 5 octobre 2004 par lesquels le maire de Toulouse a délivré à M. Perrot un permis de construire et un permis de construire modificatif ;
2°) d’annuler pour excès de pouvoir ces arrêtés ;
3°) de condamner la commune de Toulouse à lui verser la somme de 2 000 € au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative ;
Considérant que M. X fait appel du jugement du 3 avril 2008 par lequel le tribunal administratif de Toulouse a rejeté sa demande dirigée contre les arrêtés en date du 15 juin 2004 et du 5 octobre...
(Lien vers l'article de Urbanisme Pratique n°171 du 17 juin 2010)
Par des arrêtés du 15 juin 2004 et du 5 octobre 2004, le maire de Toulouse a délivré à un propriétaire un permis de construire et un permis de construire modificatif. Il a eu tort. La demande de permis de construire doit être présentée soit par le propriétaire du terrain ou son mandataire, soit par une personne justifiant d'un titre l'habilitant à construire sur le terrain (art. R. 421-1-1, code de justice administrative). Le propriétaire avait déposé un permis de construire pour réaliser une extension-surélévation d’une construction s'appuyant sur un mur séparant son fonds de celui de son voisin. Cela aurait dû retenir l’attention des services municipaux. Dans les villes et les campagnes, tout mur servant de séparation (...) entre cour et jardin (...) est présumé mitoyen.
Michel Degoffe le 17 juin 2010 - n°171 de Urbanisme Pratique