Sommaire complet
du 15 novembre 2010 - n° 58
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Cour Administrative d’Appel de Marseille n° 07MA04144 du 18 décembre 2009. Urbanisme pratique n° 170 du 4 juin 2010.
Urbanisme Pratique n°170 du 04 juin 2010
Vu la requête, enregistrée le 22 octobre 2007, présentée pour Mme Marie-Anne A, demeurant ...), par la S.E.L.A.R.L. ACTAH ;
Mme A demande à la cour :
1°) d’annuler le jugement n°0404456 du 2 juillet 2007 par lequel le tribunal administratif de Montpellier a rejeté sa demande tendant, d’une part, à l’annulation de l’arrêté du maire de Cazouls-Les-Béziers en date du 28 mai 2004 refusant de lui délivrer un permis de construire une maison d’habitation et, d’autre part, à ce que la commune de Cazouls-Les-Béziers soit condamnée à lui verser les sommes de 27,50 euros par jour à compter du 28 mai 2004 et jusqu’au jugement à intervenir pour le surcoût de transport, de 3 348,80 euros par an pour la perte de chiffre d’affaires liée à l’absence de vente des animaux...
(Lien vers l'article de Urbanisme Pratique n°170 du 04 juin 2010)
Un propriétaire dépose une demande de permis de construire le 6 février 2004. Par une lettre du 2 mars 2004, les services d’instruction de la commune de
Cazouls-Les-Béziers l’ont avisé que si aucune décision ne lui était adressée avant le 6 mai 2004, cette lettre vaudrait permis de construire. L’intéressé n’ayant reçu aucune lettre dans ce délai, il s’est trouvé titulaire d’un permis tacite (c’est-à-dire acquis par le silence) (art. R.421-12, code de l'urbanisme). Puis, par un arrêté explicite cette fois, du 28 mai 2004, le maire a refusé le permis de construire. Cette seconde décision s’analyse donc en un retrait du permis initial. Or, le maire ne peut pas retirer à n’importe quelle condition un permis délivré. Il faut tout d’abord que ce permis soit...
Michel Degoffe le 04 juin 2010 - n°170 de Urbanisme Pratique