Sommaire complet
du 03 janvier 2018 - n° 137
-
Administration
-
Contrôle et contentieux
-
Domaine
-
Permis de construire
-
Responsabilité
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Cour Administrative d’Appel de Douai n° 14DA01418 du 19 mai 2016.
Urbanisme Pratique n°327 du 06 juillet 2017
Vu la procédure suivante :
Procédure contentieuse antérieure :
M. A...a demandé au tribunal administratif de Lille d'annuler pour excès de pouvoir la délibération du 18 octobre 2011 par laquelle le conseil municipal de la commune de Grande-Synthe a autorisé le maire à vendre une parcelle cadastrée section BE n° 397 située rue Allende sur le territoire de la commune au centre culturel et cultuel du Jardin de l'Eveil et de la Vertu (CJEV).
Par un jugement n° 1107079 du 5 juin 2014, le tribunal administratif de Lille a rejeté sa demande.
Procédure devant la cour :
Par une requête, enregistrée le 13 août 2014, et des mémoires, enregistrés les 3 novembre 2014 et 21 septembre 2015, M. B...A..., représenté par Me F...D..., demande à la cour :
1°) d'annuler ce jugement en tant qu'il a rejeté ses conclusions tendant à l'annulation de la...
(Lien vers l'article de Urbanisme Pratique n°327 du 06 juillet 2017)
Par une délibération du 18 octobre 2011, le conseil municipal de Grande-Synthe (Nord) a autorisé le maire à vendre une parcelle au centre culturel et cultuel du Jardin de l'Eveil et de la Vertu. Un conseiller municipal attaque cette délibération soutenant que les dispositions de l’article L. 2121-13 du CGCT n’ont pas été respectées. Selon cet article, "tout membre du conseil municipal a le droit, dans le cadre de sa fonction, d'être informé des affaires de la commune qui font l'objet d'une délibération". La cour rejette l’argument : si la délibération ne précisait pas que la parcelle de 1 441 m² n'était qu'une partie de la parcelle d'une superficie totale de 6 078 m² et qu'à la date de la décision du conseil municipal, la division de la parcelle n'était pas encore...
Michel Degoffe le 06 juillet 2017 - n°327 de Urbanisme Pratique