Sommaire complet
du 02 décembre 2015 - n° 114
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Administration
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Documents d'urbanisme
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Domaine
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PLU
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Permis de construire
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Cour Administrative d’Appel de Douai n°13DA01448 du 29 janvier 2015.
Urbanisme Pratique n°281 du 18 juin 2015
Vu la requête, enregistrée le 26 août 2013, présentée pour la commune de Carvin, représentée par son maire en exercice, par la SCP Bignon, Lebray ;
La commune de Carvin demande à la cour :
1°) d’annuler le jugement n° 1007794 du 20 juin 2013 par lequel le tribunal administratif de Lille a annulé, à la demande de M. D...B..., l’arrêté du 7 décembre 2010 par lequel le maire a retiré le permis de construire tacite intervenu le 9 septembre 2010 et a refusé de lui accorder un permis de construire quatre logements sur un terrain situé « Groupement de l’entrée du bois « ;
2°) de rejeter la demande de M. B...;
3°) de mettre à la charge de M. B...la somme de 3 000 euros sur le fondement de l’article L. 761-1 du code de justice administrative ;
Considérant...
(Lien vers l'article de Urbanisme Pratique n°281 du 18 juin 2015)
Par un arrêté du 7 décembre 2010, le maire de Carvin (Pas-de-Calais) a retiré un permis de construire tacite intervenu le 9 septembre 2010. Le pétitionnaire soutient que cette décision a été prise par une autorité irrégulière, le directeur des services, car celui-ci n’avait pas bénéficié d’une délégation de signature régulière. La cour administrative rejette cet argument : les actes pris par les autorités communales sont exécutoires de plein droit dès qu'il a été procédé à leur publication ou affichage ou à leur notification aux intéressés ainsi qu'à leur transmission au préfet. Le maire certifie, sous sa responsabilité, le caractère exécutoire de ces actes (art. L. 2131-1 du CGCT). La cour rappelle que les mentions apportées, sous la responsabilité du...
Michel Degoffe le 18 juin 2015 - n°281 de Urbanisme Pratique