Sommaire complet
du 05 novembre 2018 - n° 146
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Constructions
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Domaine
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Expropriation
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Finances locales
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Inondations
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Lotissement
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Permis de construire
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Responsabilité
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Cour Administrative d’Appel de Bordeaux n° 15BX02239 du 27 février 2018.
Urbanisme Pratique n°344 du 26 avril 2018
Vu la procédure suivante :
Procédure contentieuse antérieure :
La SCI Montplaisir a demandé au tribunal administratif de Bordeaux d'annuler l'arrêté du préfet de la Dordogne du 2 août 2013 déclarant d'utilité publique la création d'un accès pour handicapés et pour véhicules au temple de La Roche-Chalais et déclarant cessibles les terrains nécessaires à la réalisation de cette opération.
Par un jugement n° 1303534 du 7 mai 2015, le tribunal administratif de Bordeaux a rejeté sa demande.
Procédure devant la cour :
Par une requête et des mémoires, enregistrés le 3 juillet 2015, le 14 septembre 2015 et le 26 avril 2016, la SCI Montplaisir, représentée par MeD..., demande à la cour :
1°) d'annuler ce jugement du tribunal administratif de Bordeaux du 7 mai 2015...
(Lien vers l'article de Urbanisme Pratique n°344 du 26 avril 2018)
Le préfet de la Dordogne a déclaré d'utilité publique la création d'un accès pour handicapés et pour véhicules au temple de La Roche-Chalais et déclaré cessibles les terrains nécessaires à la réalisation de cette opération. Il a eu raison. Une commune peut obtenir l’expropriation d’un terrain si le projet répond à une finalité d'intérêt général, qu’elle n’est pas en mesure de réaliser l'opération dans des conditions équivalentes sans recourir à l'expropriation, notamment en utilisant des biens se trouvant dans son patrimoine et, enfin, que les atteintes à la propriété privée, le coût financier et, le cas échéant, les inconvénients d'ordre social ou économique que comporte l'opération ne sont pas excessifs eu égard à l'intérêt qu'elle...
Michel Degoffe le 26 avril 2018 - n°344 de Urbanisme Pratique