Sommaire complet
du 11 février 2015 - n° 105
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Cour Administrative d’Appel de Lyon n° 13LY02912 du 15 avril 2014.
Urbanisme Pratique n°262 du 17 juillet 2014
Vu I la requête, enregistrée le 8 novembre 2013 sous le n° 13LY02912, présentée pour la commune de Montvalezan, représentée par son maire ;
La commune de Montvalezan demande à la cour :
1°) d’annuler le jugement n° 1005720 du 17 septembre 2013 par lequel le tribunal administratif de Grenoble a annulé, à la demande de M. et Mme A..., la délibération du 14 octobre 2010 de son conseil municipal portant approbation du plan local d’urbanisme ;
2°) de rejeter la demande de M. et Mme A...devant le tribunal ;
3°) de mettre à la charge de M. et Mme A...une somme de 1 864,97 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative ;
Elle soutient que la demande de M. et Mme A...devant le tribunal était irrecevable faute pour eux d’avoir un intérêt légitime à contester la délibération en cause...
(Lien vers l'article de Urbanisme Pratique n°262 du 17 juillet 2014)
Par arrêté du 5 juillet 2001, le maire de Montperreux (Doubs) a délivré un permis de construire une maison et un tunnel à demi enterré servant de voie d’accès à l’habitation. Un voisin a saisi le tribunal de grande instance de Besançon d’une demande tendant à ordonner la démolition de ces travaux qu’il estimait contraire au POS. Il se fonde sur l’article UB 2 en vertu duquel sont interdits « les affouillements et exhaussements du sol ». Le juge administratif a été saisi de la question de la légalité du permis. La cour administrative rejette l’argument : ces prescriptions doivent s'entendre comme concernant les " installations et travaux divers ", non soumis à la réglementation du permis de construire et dont la réalisation est subordonnée à autorisation dans les conditions prévues par les articles...
Michel Degoffe le 17 juillet 2014 - n°262 de Urbanisme Pratique