Sommaire complet
du 06 janvier 2017 - n° 126
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Contrôle et contentieux
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Documents d'urbanisme
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Domaine
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Environnement
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Finances locales
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PLU
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Permis de construire
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Cour Administrative d’Appel de Lyon n° 14LY01763 du 9 février 2016.
Urbanisme Pratique n°304 du 23 juin 2016
Vu la procédure suivante :
Procédure contentieuse antérieure :
Le préfet de la Haute-Savoie a demandé au tribunal administratif de Grenoble d'annuler l'arrêté du 27 octobre 2011 par lequel le maire de la commune de Reignier-Esery a délivré un permis d'aménager à la société Thonon Agrégats.
Par un jugement n° 1201803 du 10 avril 2014, le tribunal administratif de Grenoble a annulé ce permis.
Procédure devant la cour :
Par une requête et un mémoire, enregistrés les 10 juin et 5 décembre 2014, la société Thonon Agrégats demande à la cour :
1°) d'annuler ce jugement du tribunal administratif de Grenoble du 10 avril 2014 ;
2°) de rejeter la demande du préfet de la Haute-Savoie devant le tribunal administratif ;
3°) de mettre à la charge de l'Etat une somme de 3 600 euros au titre de l'article...
(Lien vers l'article de Urbanisme Pratique n°304 du 23 juin 2016)
Par un arrêté du 27 octobre 2011, le maire de Reignier-Esery (Haute-Savoie) a délivré un permis d’aménager que le préfet attaque. Le juge déclare son recours irrecevable car le préfet n’a pas satisfait aux obligations de l’article R. 600-1 du code de l’urbanisme en vertu duquel « en cas de déféré du préfet ou de recours contentieux à l'encontre d'un certificat d'urbanisme, d'une décision de non-opposition à une déclaration préalable ou d'un permis de construire, d'aménager ou de démolir, le préfet ou l'auteur du recours est tenu, à peine d'irrecevabilité, de notifier son recours à l'auteur de la décision et au titulaire de l'autorisation ». Or, si le préfet a produit les justificatifs de la notification de son recours gracieux et de l'introduction de son recours devant le tribunal administratif de Grenoble à la société Thonon...
Michel Degoffe le 23 juin 2016 - n°304 de Urbanisme Pratique