Sommaire complet
du 03 octobre 2018 - n° 145
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Contrôle et contentieux
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Délégations
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Expropriation
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Permis de construire
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Propriété
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Responsabilité pénale
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Urbanisme pratique n° 342 du 29 mars 2018.
Urbanisme Pratique n°342 du 29 mars 2018
Vu la procédure suivante :
Par un mémoire, enregistré le 23 octobre 2017 au secrétariat du contentieux du Conseil d'Etat, présenté en application de l'article 23-5 de l'ordonnance n° 58-1067 du 7 novembre 1958, le syndicat secondaire Le Signal demande au Conseil d'Etat, à l'appui de son pourvoi tendant à l'annulation de l'arrêt n° 14BX03289 de la cour administrative d'appel de Bordeaux du 9 février 2016, de renvoyer au Conseil constitutionnel la question de la conformité aux droits et libertés garantis par la Constitution des dispositions de l'article L. 561-1 du code de l'environnement.
Vu les autres pièces du dossier ;
Considérant qu'aux termes du premier alinéa de l'article 23-5 de l'ordonnance du 7 novembre 1958 portant loi organique sur le Conseil constitutionnel : " Le moyen tiré de ce qu'une disposition législative porte atteinte aux droits et...
(Lien vers l'article de Urbanisme Pratique n°342 du 29 mars 2018)
Le syndicat des copropriétaires de l'immeuble "Le Signal", situé boulevard du Front de mer à Soulac-sur-Mer (Gironde) a demandé au préfet d'engager la procédure d'expropriation prévue par l'article L. 561-1 du code de l'environnement en raison du risque d'effondrement de cet immeuble dû à l’érosion côtière. Le préfet ayant refusé, le syndicat saisit le juge administratif, soutenant que si l’article L. 561-1 n’est pas applicable lorsque le terrain est miné par une érosion côtière, il est contraire à la Constitution. Il invite donc le Conseil d’Etat à saisir le Conseil constitutionnel de cette question prioritaire de constitutionnalité. L’article L. 561-1 dispose que lorsqu'un risque prévisible de mouvements de terrain, ou d'affaissements de terrain dus à une cavité souterraine ou à une...
Michel Degoffe le 29 mars 2018 - n°342 de Urbanisme Pratique