Sommaire complet
du 02 décembre 2024 - n° 213
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt de la cour administrative d’appel de Versailles n° 22VE00712 du 29 février 2024
Urbanisme Pratique n°479 du 13 juin 2024
Arrêt de la cour administrative d’appel de Versailles n° 22VE00712 du 29 février 2024
Vu la procédure suivante :
Procédure contentieuse antérieure :
La SCI Bois Barbeau et M. D... C... ont demandé au tribunal administratif de Versailles d’annuler l’arrêté du 8 août 2019 par lequel le maire de la commune de Chambourcy a constaté la caducité du permis de construire n° PC 078 133 03 G1013 accordé le 16 décembre 2003 et modifié les 17 août 2006, 26 septembre 2012, 19 février 2013 et 2 février 2016, ainsi que la décision implicite de rejet de leur recours gracieux, et enfin de mettre à la charge de la commune de Chambourcy le versement de la somme de 5 000 euros, en application des dispositions de l’article L. 761-1 du code de justice administrative.
Par un jugement n° 2001204 du 21 janvier...
(Lien vers l'article de Urbanisme Pratique n°479 du 13 juin 2024)
Par un arrêté du 8 août 2019, le maire de Chambourcy (Yvelines) a constaté la caducité d’un permis de construire. Son titulaire conteste cette mesure. En l’état du droit, « le permis de construire est périmé si les travaux ne sont pas entrepris dans le délai de trois ans à compter de sa notification. Il en est de même si, passé ce délai, les travaux sont interrompus pendant un délai supérieur à une année » (art. R. 424-17, code de l’urbanisme). Pour édicter son arrêté, le maire s’est fondé sur le fait qu’il a été constaté par sept procès-verbaux de constat, établis par le responsable du service urbanisme de la commune entre le 29 mars 2017 et le 8 août 2019, que le chantier a été interrompu pendant plus d’une année. Chacun de ces constats est...
Michel Degoffe le 13 juin 2024 - n°479 de Urbanisme Pratique