Sommaire complet
du 01 septembre 2011 - n° 67
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Assainissement
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Contrôle et contentieux
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Domaine
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Décisions d'urbanisme
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PLU
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Permis de construire
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Préemption
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Responsabilité
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Voirie
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Cour Administrative d’Appel de Versailles n° 08VE02193 du 27 mai 2010.
Urbanisme Pratique n°182 du 13 janvier 2011
Vu la requête, enregistrée le 15 juillet 2008 au greffe de la Cour administrative d’appel de Versailles, présentée pour la COMMUNE DE NOISY-LE-GRAND, représentée par son maire en exercice, par Me Sarbib ;
la COMMUNE DE NOISY-LE-GRAND demande à la Cour :
1°) d’annuler le jugement n° 0604533 du 24 avril
2008 par lequel le Tribunal administratif de Cergy-Pontoise a annulé la décision du 8 mars 2006 par laquelle son maire a décidé d’exercer le droit de préemption urbain sur un immeuble sis 2/4, rue du Buisson et 11 bis, rue Carnot ;
2°) de rejeter la demande présentée par M. et Mme A devant ce tribunal ;
3°) de mettre à la charge de M. et Mme A le versement d’une somme de 2 600 euros sur le fondement de l’article L. 761-1 du code de justice administrative...
(Lien vers l'article de Urbanisme Pratique n°182 du 13 janvier 2011)
Par une décision du 8 mars 2006, le maire de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) a décidé de préempter un immeuble que son propriétaire vendait. L’acquéreur évincé attaque cette décision. De façon classique, la cour administrative annule la décision pour manque de motivation, c’est-à-dire de précision sur le projet envisagé (art. L. 210-1, et L. 300-1, code de l’urbanisme). La motivation est plus aisée quand la préemption vise à mettre en application une politique locale de l’habitat : dans ce cas, la commune peut motiver sa décision de préemption en se référant précisément au contenu des délibérations instituant cette politique.
Or, dans sa décision, le maire s'est borné à faire état de considérations générales sur l'aménagement du quartier environnant...
Michel Degoffe le 13 janvier 2011 - n°182 de Urbanisme Pratique