Sommaire complet
du 01 avril 2022 - n° 184
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Espaces boisés
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Logement
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PLU
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Permis de construire
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Préemption
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Cour Administrative d’Appel de Lyon n° 20LY00085 du 25 février 2021.
Urbanisme Pratique n°420 du 21 octobre 2021
Vu la procédure suivante :
Procédure contentieuse antérieure
La SARL Bernard Loriot Investissements a demandé au tribunal administratif de Dijon d'annuler :
- l'arrêté émis par l'Etablissement Public Foncier Local (EPFL) des collectivités de Côte-d'Or en date du 3 avril 2018, sur délégation de Dijon Métropole, pour l'exercice de son droit de préemption urbain pour l'acquisition d'un terrain à bâtir cadastré section ER n° 198, situé 14 rue Clément Marillier à Dijon ;
- d'annuler le rejet de ses recours gracieux.
Par un jugement n° 1802496 du 31 octobre 2019, le tribunal administratif de Dijon a annulé l'arrêté de l'EPFL des collectivités de Côte-d'Or en date du 3 avril 2018 ainsi que les rejets des recours gracieux opposés à la SARL Bernard Loriot...
(Lien vers l'article de Urbanisme Pratique n°420 du 21 octobre 2021)
L’établissement public foncier local (EPFL) des collectivités de Côte-d'Or, qui avait reçu délégation de la commune de Dijon a décidé, le 3 avril 1998, de préempter un immeuble que son propriétaire vendait. L’acquéreur évincé soutient que la préemption est illégale car l’EPFL n’avait pas, à la date où la décision de préemption a été prise, un projet arrêté d’aménagement entrant dans l’un des objets énumérés à l’article L. 300-1 : “ toute décision de préemption doit mentionner l'objet pour lequel ce droit est exercé. (...). Lorsque la commune a délibéré pour définir le cadre des actions qu'elle entend déclencher pour mener à bien un programme local de l'habitat (...), la décision de préemption peut (...) se référer aux dispositions de cette délibération ..
Michel Degoffe le 21 octobre 2021 - n°420 de Urbanisme Pratique